S.Vara, A. Lamelas et Diego Peseiro se distinguent
Photos et CR : Pierrick Charmasson (Sol y Sombra)
Samedi 16 juillet 2022 : Alberto Lamelas coupe la seule oreille d’une intéressante corrida de Dolores Aguirre.
Ceret de Toros 2022 a débuté ce samedi 16 juillet, sous une chaleur écrasante et devant une chambrée remplissant quasiment en plein l’enceinte catalane pour une corrida de Dolores Aguirre qui sans être la course la plus complète venue de la Dehesa de Frias n’a jamais manqué d’intérêt.
ALBERTO LAMELAS (salut et oreille)
ROMAN (sifflets et silence)
MAXIME SOLERA (silence et ovation)
RESENA COMPLETE DE PIERRICK SUR SOL Y SOMBRA
Dimanche 17 juillet matin : Diego Peseiro ouvre la grande porte
La novillada matinale, donnée en ouverture de cette dernière journée de Ceret de Toros 2022 s’est déroulée dans une plaza garnie d’un gros trois quart et sous un cagnard d’un autre monde. Pour l’occasion, l’ADAC toujours en quête d’originalité et de découverte avait jeté son dévolu sur la ganadería d’Alejandro Vázquez qui presenta au pieds du Vallespir au lot digne d’intérêt, très bien présenté, davantage au format d’une corrida que d’une novillada piquée, rond et armé. Tous s’en allèrent défier le groupe équestre avec pas mal d’alegría, parfois avec violence et pas toujours avec une brave caractérisée. Meilleurs à l’épreuve des piques les 3 et 4 qui s’y employèrent avec le plus de panache, anodin le 5 et sortant seuls les 1,2 et 6. Meilleurs pour le toreo les 1 et 4, celui-ci récompensé d’une vuelta al ruedo généreuse. Le mayoral fut invité à saluer, ce qui n’était pour le moins guère indispensable.
DIEGO PESEIRO (oreille, oreille et silence)
JOSE ROJO (silence)
LEANDRO GUTIERREZ (silence et silence)
RESENA COMPLETE DE PIERRICK SUR SOL Y SOMBRA
Dimanche 17 juillet tarde : unique vuelta pour Sanchez Vara
D’une présentation irréprochable, la corrida de Pahla qui venait mettre fin au cycle 2022 de Ceret de Toros, une corrida qui sans être un véritable grand cru a offert du spectacle et maintenu l’intérêt tout au long d’une après-midi ensoleillée, canicule à l’appui. De beaucoup de présence, les toros portugais ont fait le spectacle sous le fer, s’y engageant sans sourciller, démarrant vers le groupe avec pas mal d’alegria. Une fois dans le matelas la plupart ne firent pas démonstration d’une immense bravoure mais défendirent la devise bleu eu blanche avec véracité. Meilleurs dans l’exercice les 3, 4 et 5, le premier élancé avec panache fut mal piqué, plus insipide le sobrero de Penajara sortit 2eme, moins saillant et trop peu châtié l’ultime. Meilleurs pour le dernier tiers les 1, 3 sous exploité, 4 et 5, le plus complet. Sans saveur le 2 bis, diabolique l’impossible sixième.
JAVIER SANCHEZ VARA (vuelta et salut)
SERGIO SERRANO (silence et silence)
DAMIAN CASTAÑO (silence et ovation)